Dans la presse

TELERAMA

Martine Laval

« Après Arrivederci amore, monologue puissant et grinçant [...], l'auteur récidive aujourd'hui avec cet autre monologue tout aussi chavirant. Il est cette femme seule, lobotomisée par la misère, réduite aux pauvres rêves de supermarché, aux mauvaises promos en guise d'eldorado. Un texte fulgurant, à lire en apnée. »