Dans la presse

LE FIGARO LITTERAIRE

Christophe Mercier

« Le lecteur se trouve plongé, toute distance abolie, au cœur de la réalité d'une époque en train de disparaître [...]. On n'est pas loin de Thomas Hardy, l'humour en plus, qui n'exclut pas la cruauté. On s'étonne que Grassic Gibbon, romancier d'exception, ait mis plus de 70 ans pour arriver à nous. »