Les libraires aiment
« Julia Alvarez écrit peu, mais c’est chaque fois un grand bonheur ! Après avoir évoqué magnifiquement la résistance à la dictature dans son pays d’origine, la Dominique (Au temps des papillons), elle s’attaque ici à un pan de l’histoire de la colonisation espagnole des Am...
«Les couleurs de la ville, une analyse fine des protestants "orangistes" méconnus, un personnage attachant et l’impeccable traduction inspirée de David Fauquembert... J’adore!»
« Elsa Osorio (oui, vous la connaissez sûrement…vous avez peut-être déjà lu Luz ou le temps sauvage ou Tango) nous mène une fois encore en Argentine, mais cette fois-ci avec un recueil de nouvelles. Elles sont tour à tour fantastiques, métaphoriques, ou très réalistes, ...
« Cet ouvrage est un véritable chef d'œuvre en ce qui me concerne et j'essaierai de le défendre comme tel ! [...] A la simple lecture de cet ouvrage, on a déjà chaud, mais en pleine canicule ça a été une révélation ! »
« La huitième vibration est un livre puissant à la construction très intelligente, mené de main de maître par une star italienne du roman policier. La huitième vibration est un grand roman, vous ne l’oublierez pas de sitôt. »
« Décidément la rentrée chez Anne-Marie Métailié nous embarque loin, très loin, dans de grands romans ! Carlo Lucarelli nous le connaissons par ses polars… Oui, ici on y retrouve une trame polardeuse, mais ce pourrait être aussi un roman d’aventure, une épopée, et un grand roman ...
Par un bel après-midi de printemps, Vincent Nolan, jeune néonazi au crâne rasé et aux bras entièrement tatoués de symboles SS arrive à Manhattan. Il entre dans les bureaux de la fondation de défense des droits de l'homme «World Brotherhood Watch», dirigé par le très charismatique et s...
Un roman puissant, d’une grande finesse psychologique, qui montre les travers de la société contemporaine et ne peut laisser le lecteur indifférent.(Page des libraires)
Un mélange diablement réussi de suspense, de questionnements sur la société et de bonne humeur.(Page des libraires)
De cet écriture épurée et lyrique à laquelle John Burnside nous a déjà habitué, il nous permet d’entrer dans son univers, son enfance et adolescence. Mémoires, souvenirs du père, récit acéré sans apitoiement...
Erlendur et son équipe ont bien du mal à démarrer leur triste enquête sur le meurtre affreux du petit Elias, 10 ans […]. Crime raciste ? Pédophilie ? Vengeance ? […] Erlendur […] se heurte à une problématique soci...
Aux frontières de la philosophie et de l’art – les méditations sur La poupée de Hans Bellmer – ce récit allégorique, érudit, cruel, met à nu les obsessions inquiétantes des hommes.(24 heures)