Dans ces récits solidement construits, l’inquiétante étrangeté de chaque détail, l’horreur toute simple – donc absolue – et le réalisme sont l’aliment d’un fantastique aussi spectaculaire qu’ambigu; fantastique parfois drôle, plausible et cependant opaque comme peuvent l’être la monstruosité de l’enfance, la force tonnante d’un fleuve en crue, l’inclémence de la forêt vierge et des midis tropicaux ou le délire de l’homme, délire de l’amour ou folie de la mort.
« Cet homme que la mort fréquenta avec une invraisemblable assiduité fut l’un des conteurs les plus talentueux de son temps. »
Le Matin
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Bien avant García Márquez ou Vargas Llosa, le père de la littérature latino-américaine!
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« À eux seuls, ces contes préfigurent tous les chefs-d'œuvre qui ont rendu si populaire la littérature sud-américaine. »André ClavelL'ÉVÈNEMENT DU JEUDI