Dans la presse

La Libre Belgique

Geneviève Simon

"Certes, une partie du livre est plus technique dès lors qu’Al Alvarez évoque des parties légendaires, la maîtrise du biais statistique et mathématique, ainsi que les manches du tournoi proprement dit. Mais son écriture nerveuse et enjouée, une construction sans temps mort, son habilité à sonder ses interlocuteurs pour débusquer leurs plus profondes motivations, font de ce texte un passionnant document, même quand on n’y entend rien au poker. Car au-delà du sujet, c’est l’humain qui nous apparaît dans ses failles comme ses exaltations, le poète étant parvenu à faire surgir nombre de moments de vérité."