« Le plus gros jeu […] est une enquête qui se lit comme le plus captivant des romans. […] Il n’est pas nécessaire de bien connaître le jeu en général, ou le poker en particulier, pour se passionner pour ce livre. La plume d’Al Alvarez est en effet fine et pleine de drôlerie, les portraits sont saisissants, les descriptions du déroulement du tournoi haletantes. Et l’analyse qu’il propose du milieu des professionnels du poker, comme étant la convergence de la mythologie western du pistolero solitaire ne pouvant compter que sur ses propres ressources et de la libre entreprise capitaliste la plus débridée, est particulièrement pertinente. »
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