Dans la presse

LE MONDE

Raphaelle Rérolle

« S'il est constamment obscurci par la crainte, le paysage des Oiseaux de l'hiver n'est cependant pas désespéré. Car au froid extérieur, à la peur qui «glace» les entrailles, à l'angoisse qui pollue tout, répond la tendresse maternelle. C'est la douceur d'une main posée sur un front, la chaleur qui combat le froid de l'hiver et dilate ce qui s'était contracté, en un mot la beauté de ce livre poignant. »