Dans la presse

Études

Anne Le Maître

"L’incroyable justesse de l’écriture de Lídia Jorge et sa force poétique (servies par un très beau travail de traduction) font de cette femme forte et lucide qu’est Dona Alberta la porte-parole hors pair, peut-être jamais aussi bien entendue, de ce pays du « juste avant », cette antichambre qui ne dit pas son nom (la maison porte le nom d’Hôtel Paradis). Et, de ce roman, un grand texte sur la vie, la vie jusqu’au dernier souffle."