Dans la presse

Libération

Frédérique Fanchette

« Une telle plongée dans un «Ehpad» pourrait paraître rebutante. Elle ne l’est pas, tant l’attachement à la vie de la résidente de l’Hôtel Paradis est bouleversant. Dona Alberti laisse se manifester l’intensité de ses sentiments, de ses sensations. Elle se révolte contre la froideur de certains soignants, contre l’homophobie des pensionnaires joueurs de cartes, suit de près l’histoire d’amour d’une aide-soignante. Surtout elle analyse de façon détaillée cette dernière ligne droite existentielle. Mais la félicité est en danger quand la nuit sort des murs de sa chambre. »