Dans la presse

L’ECHO

François Estrada

« Leonardo Padura décrit - avec talent - une Havane en décrépitude où roulent encore de belles américaines délabrées qui ressemblent de plus en plus au régime à bout de souffle qui règne à Cuba. Ce polar noir est aussi un hommage au peuple cubain, toujours entre résignation et dérision, entre passion et nostalgie, et qui voit poindre, à travers le tourisme et la corruption, le retour en force du dieu dollar. »