Dans la presse

Chargement...

CENTRE France

« Mêlant l’intime et le social, le crime et le souvenir, l’Islandais poursuit son exploration du monde. »

LA REPUBLIQUE DU CENTRE

« Dans cet impressionnant dernier roman, Indridason surprend en nous plongeant dans un monde à la Simenon. »


LA MARSEILLAISE

« L’enfance est le diamant noir de ce livre, le véritable enjeu du travail d’Indridason et la vraie sacrifiée d’un monde en pleine décomposition morale. »

L’ECHO

« C’est magnifiquement écrit, c’est profond, c’est vraiment digne du meilleur Simenon ! »

LE MATIN

« Un "Hiver Arctique" mélancolique et envoûtant. […] Racisme, alcool, drogues ou haine de soi, Indridason scrute la nature humaine dans sa plus grande fragilité, en même temps qu’il écrit un polar kaléidoscopique savamment rythmé...

LA LIBERTE

« C’est tout sauf gai, mais toujours aussi prenant. Du grand Indridason ! »

LA LIBRE Belgique

« Comme dans ses autres romans, Arnaldur Indridason mène son roman avec une grande maestria, mêlant les pistes et ménageant le suspense jusqu’au bout. »

VERS L’AVENIR

« Comme toujours, Indridason fait preuve d’une excellente maîtrise à la fois de l’intrigue qui progresse subtilement vers un dénouement surprenant et des dialogues justes et rigoureux. »


LA TRIBUNE DE GENEVE

« Chez Indridason, l’enquête policière reste un prétexte pour creuser toujours plus profond les thèmes de l’identité, de la mémoire et du temps. »


LE TEMPS

« Cinquième roman traduit d’Arnaldur Indridason, l’un de ces grands Scandinaves du polar dont les œuvres ne cessent d’impressionner tant par leur qualité littéraire que par leur popularité à l’échelle mondiale. &raqu...


TAGEBLATT

« Erlendur revient. Et alors que le froid, impitoyable, s’installe en terre d’Islande, le commissaire de Reykjavik n’est pas des plus en forme. Hanté par ses démons, usé par la vie et le temps qui passe, il suit l’enquête sur l’ass...


L’HEBDO SUPPLEMENT

« Dans cet hiver arctique, tout le monde disparaît, même le innocents. Un thème qui, décidément, semble autant fasciner l’écrivain qu’il hante son héros. »