Publication : 12/01/2017
Pages : 196
Grand Format
ISBN : 979-10-226-0540-3
Couverture HD
Numerique
ISBN : 979-10-226-0545-8
Couverture HD

La Chair

Rosa MONTERO

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18 €
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11.99 €
Titre original : La Carne
Langue originale : Espagnol (Espagne)
Traduit par : Myriam Chirousse

Pas facile d’accepter son âge quand on a soixante ans, qu’on vit seule et que votre amant vous quitte pour faire un enfant avec sa jeune épouse. Soledad engage donc un gigolo de trente ans pour l’accompagner à l’opéra et rendre jaloux le futur père. Mais à la sortie, un événement inattendu et violent bouleverse la situation et marque le début d’une relation trouble, volcanique et peut-être dangereuse.
Soledad se rebelle contre le destin avec rage et désespoir, avec humour aussi, et le récit de son aventure se mêle aux histoires des écrivains maudits de l’exposition qu’elle prépare pour la Bibliothèque nationale.

La Chair est un roman audacieux et plein de surprises, l’un des plus subtils et personnels de l’auteur. Son intrigue touchante nous parle du passage du temps, de la peur de la mort, de l’échec et de l’espoir, du besoin d’aimer et de l’heureuse tyrannie du sexe, de la vie comme un épisode fugace au cours duquel il faut dévorer ou être dévoré. Le tout dans un style allègrement lucide, cruel et d’une ironie vivifiante.

Une grande romancière décortique avec acuité et humour les sentiments d’une séductrice impénitente aux prises avec les ravages du temps.

  • "Je viens de finir La Chair de Rosa Montero; quel merveilleux cadeau pour commencer l'année 2017! J'ai adoré ce livre que j'ai envie d'offrir à toutes les femmes! Cette Soledad est tellement émouvante dans son désir de vivre intensément qu'on souhaiterait qu'elle existe et d'ailleurs n'avons-nous pas toutes une Soledad dans nos cœurs de femmes ? "

    Perrine
  • "Rosa Montero fait partie de ces auteurs que l'on retrouve comme un ami de longue date : on la reconnaît sans cesser de la découvrir.

    A la fois touchante, espiègle, complice avec son lecteur...plus on la lit, plus on l'aime !

    Il faut dire que Rosa Montero a plus d'une corde à son arc. Journaliste célèbre en Espagne -elle écrit dans El Pais depuis plus de quarante ans, c'est aussi une romancière aventurière : science fiction, roman historique, autofiction, le tout saupoudré de comédie, de suspense digne d'un polar...Rien ne résiste à Rosa Montero, qui imbrique même souvent les différents genres littéraires dans un même récit, sans jamais perdre son chemin et sa fantaisie."

    Lucile
  • "La Chair est un roman sur l'amour, cet amour passionnel que l'on donne sans concession et dont on a tellement besoin. Rosa Montero nous livre un roman audacieux et surprenant, sur des personnes blessées et terrorisées à l'idée d'être seules. Une intrigue émotionnelle qui évoque le passage du temps, de la peur de la mort, de la défaite, de la tyrannie du sexe mais aussi de l'espoir et de la nécessité d'aimer."

    Sarah
  • "Soledad Alegre est abandonnée par son amant et fête ses soixante ans. Pour attiser la jalousie de ce dernier, elle s’offre les services d’un gigolo. Et, pour tromper le temps qui passe, elle essaye vainement de s’atteler au sujet de son travail, les écrivains maudits. Subitement, elle se pose la question : à quel moment un être humain se perd-il ? Pour y répondre, Rosa Montero sublime les divagations de son héroïne et tempère ses inconstances. En biographe inouïe, elle ressuscite les vices d’auteurs mal connus et les entremêle avec l’immoralité actuelle. Avec fougue, elle dénude les évidences : Soledad sera toujours paradoxale et passionnée, la réalité incomplète et incontrôlable. La chair, un roman ardent."

  • "Je viens de finir « La chair » de Rosa Montero, le  5e livre que je lis d’elle, et elle me surprend toujours : un brin de folie, de l’humanité et de l’humour (surtout à la fin), livre-coup de cœur !"

    Elisabeth Guilbert
  • "Sur une intrigue qui peut paraître au départ  assez mince, Rosa Montero nous offre un roman extrêmement touchant et souvent très drôle où elle nous parle du besoin d’amour, des exigences parfois violentes du sexe, du refus de vieillir et de la nécessité de profiter de chaque instant de la vie. Portrait d’une « jeune femme de soixante ans » La Chair est aussi un « faux polar » habilement construit qui ménage pas mal de surprises et un changement de perspective plutôt inattendu."

    Yves Martin
  • "Femmes, femmes mûres, vieilles femmes : ce livre est pour vous!

    Impossible de ne pas se reconnaître à un moment ou un autre. Et pourtant. Soledad est misogyne, colérique, jalouse, avide d'amour (ce qui n'est pas du tout mon cas!). D'une plume drôle et sensuelle, cruelle parfois, Montero nous plonge DANS le coeur d'une femme de 60 ans, belle, intelligente mais vieillissante. Un drame quand on aime les hommes et qu'on ne peut s'en passer, comme Soledad!"

    Catherine Ohanessian
  • "Soledad, superbe femme de 60 ans, s'éprend d'un gigolo de 30 ans. Au delà de ce scénario assez simple Rosa Montero nous dresse un tableau impitoyable (mais souvent drôle) de la vieillesse naissante. Ca déménage, ça secoue. on en sort charmé!"

    Philippe
  • Le désir s'estompe-t-il avec l'âge? Certainement pas ! Pourtant les interdits sociaux ne permettent pas tout... Rosa Montero a l'art de mettre le doigt là où ça fait mal avec un livre très universel sur l'âge, l'amour, la mort, la folie et le désir.

  • "Un roman touchant fait de tristesse, de nostalgie, de regrets et de frénésie affective. Mais aussi de lucidité, d'humour et de résilience. C'est la première fois que je lisais Rosa Montero, ce ne sera pas la dernière !"

    Damien
  • "A 60 ans, Soledad ne veut pas rester sur le carreau et fait appel à un escort-boy  pour rendre jaloux un ex qui lui a préféré sa jeune femme... Elle s'est peut-être engagé sur une pente un peu glissante... Rosa Montero nous offre un émouvant portrait de femme, tiraillée entre entre les méfaits de l'âge, un passé plutôt lourd et une volonté d'avancer coût que coûte"

  • "Voici un roman doux amer sur la fuite du temps, le corps et la folie. Portrait mélancolique d’une femme toujours rattrapée par ces fantômes, mais mue par un côté solaire qui embarque son lecteur." Lire l'article ici

    Blog Bricabook
  • Lire l'entretien ici

    Serge Perraud
    lelitteraire.com
  • "Rosa Mon­tero signe un texte d’une puis­sance nar­ra­tive peu com­mune." Lire l'article ici

    Serge Perraud
    lelitteraire.com
  • "Avec un humour dévastateur, l'écrivaine espagnole met en scène une amoureuse de la vie." Lire l'article ici

    Martine Laval
    Le Matricule des anges
  • "Une intrigue haletante et une réflexion douce sur l'art et l'amour." Lire l'interview de Rosa Montero ici

    Transfuge
  • "C'est à la fois touchant, livré sans fard, sans tricherie, mais c'est aussi truffé d'ironie, de dignité et de désir farouche." Lire l'article ici

    Blog Chez Clarabel
  • "Rosa Montero entrecroise comédie de moeurs, suspense et essai littéraire dans un livre vif sur la tyrannie du désir, ses liens avec l'enfance et la peur d'être abandonné." Lire l'article ici

    Marguerite Baux
    ELLE
  • "Le mélange de la réalité et de la fiction est ce qui représente le mieux le monde." Lire l'interview ici

    Blog Le domaine de Squirelito
  • "Triste la chair ?" Lire l'article ici

    Albert Bensoussan
    En attendant Nadeau
  • "Un roman palpitant du début à la fin." Lire l'article ici

    Blog En lisant en voyageant
  • Lire l'entretien ici

    Tristan Poirel
    Site Lecthot
  • "Avec La Chair, l’écrivaine espagnole Rosa Montero épouse le point de vue ironique et lucide de son héroïne pour composer une fiction baroque, qui n’est pas sans évoquer l’atmosphère du cinéma de Pedro Almodovar" Lire l'article ici

    Marie Michaud
    Zibeline
  • "Agréable et féroce,  très contemporain, voici un roman à l’équilibre parfait" Lire l'article ici
     
    Cécile Pellerin
    Blog La Lectrice
  • "Décidément, la chair n'est pas triste !" Lire l'article ici

    La Bibliothèque de Delphine-Olympe
  • "C’est un beau personnage de femme, attachant, aux multiples facettes parfois paradoxales : à la fois forte, brillante, lucide, désespérée, effrayée, affamée d’amour." Lire l'article ici

    BLOG NYCTALOPES
  • "Rosa Montero, qu'on sait aussi à l'aise dans le portrait historique, le récit introspectif ou le roman de science-fiction, excelle dans la description d'un cœur féminin, qui finit, l'âge venant, par douter de sa capacité à séduire, mais tombe dans le premier panneau amoureux venu." Lire l'article ici

    Didier Jacob
    L'OBS
  • "Chef d’oeuvre à l’horizon !" Lire l'article ici

    Le Suricate magazine
  • Écouter la chronique ici

    Jean - Librairie Thuard
    France bleu Maine
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    Maya Flandin - Librairie Vivement dimanche
    France 3 Auvergne-Rhône-Alpes
  • "Rosa Montero a le sens de la dérision, voire de l'autodérision, puisqu'elle n'hésite pas à se mettre en scène, ce qui fait de ce texte une jolie chronique douce-amère du temps qui passe et des angoisses qu'il charrie." Lire l'article ici

    Alexandra Schwartzbrod
    Libération
  • "Cruel, ironique mais aussi sensuel : un roman tendu comme un arc et d'une efficacité exemplaire." Lire l'article ici

    Hubert Artus
    Lire
  • "La Chair est à mettre entre toutes les mains. Un remède contre les idées noires." Lire l'article ici

    Marie Torres
    Micmag.net
  • "Un thriller érotico-sentimental, tendu par un efficace suspense."

    Véronique Rossignol
    Livres Hebdo
  • " Le roman va tambour (et cœur) battant on en sort secoué, pensif, et plein d'appétits... variés." Lire l'article ici

    Isabelle Motrot
    Causette
  • "L'auteure madrilène signe un roman d'une rare intensité ou des questions existentielles sur l'amour, la folie et la solitude s'entremêlent aux parcours des écrivains maudits" Lire l'article ici

    Qué Tal Paris
Rosa Montero est née à Madrid où elle vit. Après des études de journalisme et de psychologie, elle entre au journal El País où elle est aujourd’hui chroniqueuse. Best-seller dans le monde hispanique, elle est l’auteur de nombreux romans, essais et biographies traduits dans de nombreuses langues, parmi lesquels La Fille du cannibale (prix Primavera), Le Roi transparent et L’Idée ridicule de ne plus jamais te revoir.